Sa Cage
Venons-en au logis de votre protégé, où il passera l’essentiel de sa vie. (Ne vous dites pas : « Sa cage n’a pas d’importance, je le laisserai libre la plupart du temps », nous venons de voir que c’est le contraire qui se produit !). Il faut donc veiller à ce qu’elle lui soit parfaitement adaptée. Les dimensions de la cage
Premier problème : les dimensions. Disons d’emblée qu’une cage n’est jamais trop grande : la seule limite supérieure est fixée par ce que peut supporter votre appartement !
À l’inverse, il ne faut pas descendre en dessous d’une certaine taille, sinon, l’animal ne pourra pas s’ébattre convenablement. La hauteur minimale est de 75 ou 80 centimètres, la longueur de 60 à 70 centimètres et la profondeur de 40
à 45 centimètres. (En élevage, on utilise en général des cages plus petites.)
Vous avez certainement remarqué en lisant ces chiffres que cette cage « minimale » est plus haute que longue, c’est que le comportement du chinchilla s’apparente plus à celui de l’écureuil que du lapin, car c’est un excellent sauteur (et un assez bon grimpeur). C’est d’ailleurs
pour cette raison que les cages pour lapins ne lui conviennent pas bien : elles sont en général trop basses.
La dimension des mailles de la cage. Il faut aussi surveiller la dimension des mailles : plus celles-ci sont écartées et plus il y a de risques que l’animal se blesse. Un espacement de 2 centimètres est correct, il est en outre suffisant pour empêcher les petits de s’échapper.
Il faut aussi veiller à ce que les barreaux soient installés verticalement. En effet, dès les premières heures de leur vie, les jeunes se mettent à se promener et à grimper et, si les barreaux sont disposés horizontalement, ils vont les escalader, sans être capables de redescendre (sauf en sautant). Ils risquent alors de se blesser en tombant, parfois grièvement.
De plus, la cage doit être munie d’une porte dont le système de verrouillage soit efficace (pas de petit crochet qu’il suffit de soulever)... Le chinchilla
est un serrurier expert, et une fois qu’il a compris le fonctionnement d’une fermeture, celle-ci ne l’arrêtera plus, au point qu’il vaut mieux alors changer tout de suite de système !
La cage doit bien entendu être entièrement en métal (rien d’autre ne résiste aux incisives acérées d’Eryomis) et elle sera si possible équipée d’un tiroir métallique, au fond, qui facilitera les nettoyages (hebdomadaires, de préférence).
Premier problème : les dimensions. Disons d’emblée qu’une cage n’est jamais trop grande : la seule limite supérieure est fixée par ce que peut supporter votre appartement !
À l’inverse, il ne faut pas descendre en dessous d’une certaine taille, sinon, l’animal ne pourra pas s’ébattre convenablement. La hauteur minimale est de 75 ou 80 centimètres, la longueur de 60 à 70 centimètres et la profondeur de 40
à 45 centimètres. (En élevage, on utilise en général des cages plus petites.)
Vous avez certainement remarqué en lisant ces chiffres que cette cage « minimale » est plus haute que longue, c’est que le comportement du chinchilla s’apparente plus à celui de l’écureuil que du lapin, car c’est un excellent sauteur (et un assez bon grimpeur). C’est d’ailleurs
pour cette raison que les cages pour lapins ne lui conviennent pas bien : elles sont en général trop basses.
La dimension des mailles de la cage. Il faut aussi surveiller la dimension des mailles : plus celles-ci sont écartées et plus il y a de risques que l’animal se blesse. Un espacement de 2 centimètres est correct, il est en outre suffisant pour empêcher les petits de s’échapper.
Il faut aussi veiller à ce que les barreaux soient installés verticalement. En effet, dès les premières heures de leur vie, les jeunes se mettent à se promener et à grimper et, si les barreaux sont disposés horizontalement, ils vont les escalader, sans être capables de redescendre (sauf en sautant). Ils risquent alors de se blesser en tombant, parfois grièvement.
De plus, la cage doit être munie d’une porte dont le système de verrouillage soit efficace (pas de petit crochet qu’il suffit de soulever)... Le chinchilla
est un serrurier expert, et une fois qu’il a compris le fonctionnement d’une fermeture, celle-ci ne l’arrêtera plus, au point qu’il vaut mieux alors changer tout de suite de système !
La cage doit bien entendu être entièrement en métal (rien d’autre ne résiste aux incisives acérées d’Eryomis) et elle sera si possible équipée d’un tiroir métallique, au fond, qui facilitera les nettoyages (hebdomadaires, de préférence).